ICF : notoriété mondiale du coaching (ressource web)
COACHING : Etude de Notoriété ICF 2014 auprès des consommateurs mondiaux
Mondiale de la profession du coaching
Une étude à l’échelle mondiale
ICF (International Coach Federation) a commandité un sondage pour disposer d’une étude solide de la notoriété mondiale de la profession du coaching. Cette étude a été menée auprès de 18 810 individus représentant 25 pays, possédant chacun une forte concentration de membres ICF.
En France, 752 personnes ont été interrogées.
Pour télécharger : l’étude traduite en français par ICF France.
Ce qu’il faut en retenir
Page 29 : Résumé des points essentiels
- Au total, 58% des répondants déclarent connaitre le coaching professionnel ou personnel, dont 17% disent le connaitre « très bien » et 41% se décrivent comme le connaissant « un peu ».
- Les niveaux de notoriété varient fortement par groupe d’âge, allant de 67% parmi les répondants âgés de 25 à 34 ans à 48% pour ceux âgés de 55 ans ou plus.
- Malgré le difficile climat économique de ces dernières années, le niveau de notoriété mondial a augmenté de 8 points de pourcentage entre 2010 et 2013, l’augmentation notée allant de +5% dans les pays des Quatre Grands à +9% en Europe continentale.
- Presque un répondant sur cinq (17%) dit avoir participé à une relation de coaching. Entre 2010 et 2013, on peut estimer que la participation au coaching s’est accrue de un point de pourcentage.
- Un sur trois (33%) de ceux qui n’ont pas encore participé au coaching ont dit qu’ils pourraient envisager de participer à une relation de coaching en tant que personne coachée. La proportion varie considérablement entre ceux qui connaissent le coaching (47% d’entre eux envisageraient d’en recevoir) et ceux qui ne le connaissent pas (19%).
- La possibilité de démarrer une relation de coaching varie également beaucoup par groupe d’âge, allant de 44% parmi les répondants âgés de 25 à 34 ans à 21% pour ceux âgés de 55 ans ou plus.
- Lorsqu’on leur demande pourquoi ils ne pourraient pas envisager une relation de coaching, 42% des répondants disent se trouver à un moment dans leur vie où le coaching n’est pas important. La prédominance de ce point de vue quant au moment de vie est plus forte avec l’âge, car 54% des personnes âgées de 55 ans et + ont donné ce facteur comme raison de ne pas envisager le coaching. Dans les groupes d’âge plus jeunes, le coût et l’absence de besoin ressenti sont plus souvent identifiés comme raisons pour ne pas envisager le coaching.
- Parmi ceux qui pourraient envisager le coaching, les motivations les plus fréquemment citées sont définir ses propres forces et faiblesses (47%), suivi par le désir de maximiser son propre potentiel (41%).
- Reflétant les schémas de notoriété et les considérations sur le coaching, la participation à une relation de coaching est elle aussi fortement liée à l’âge. Parmi ceux qui connaissent le coaching, 35% des personnes âgées de 25 à 34 ans disent avoir déjà eu une relation de coaching, alors que c’est le cas de 23% seulement de ceux âgés de 55 ans et +.
- Les répondants hommes tendent à donner des raisons liées à la profession, comme d’optimiser la performance de travail, alors que les répondants femmes ont davantage tendance à mentionner des facteurs de développement personnel.
- Parmi ceux qui ont participé à une relation de coaching, un peu plus de la moitié (51%) ont déclaré que leur coach possédait une certification ou des références, et 36% ont affirmé que leur coach était membre d’un organisme professionnel.
- La satisfaction par rapport à l’expérience de coaching était significativement plus importante parmi ceux dont le coach détenait une certification ou des références, ainsi que parmi ceux dont le coach était membre d’un organisme professionnel.
- De même, la probabilité de recommander le coaching à des collègues, des amis et/ou aux membres de la famille était considérablement plus élevée parmi ceux dont le coach détenait une certification/des références, ou était membre d’une organisation professionnelle.
- Les répondants ont clairement exprimé l’importance de la certification ou des références du point de vue des consommateurs. Parmi ceux qui ont eu une relation de coaching, 83% a affirmé qu’il était important ou très important que leur coach ait une certification ou des références.
Pour compléter votre lecture et comprendre plus spécifiquement le marché français, le site ICF met également d disposition les principaux résultats concernant le marché français dans le document « données France »
Autre ressource ICF : Les 11 compétences du coach selon ICF